Hello les Bloger's

Eh, oui, le boulot, un ado à la maisonl, la famille, les amis, quelques amants, les animaux, la maison et le jardin, le repos, bref, la vie quoi ! et quinze jours passent mine de rien, une vraie "turie"! Jamais le temps de s'ennuyer quoi, et vous ?....

Bien, revenons au sujet qui nous relie, c'est à dire la poésie...

La Patience

Que penser de l’Amour galvaudé dans l’ennui

La grande solitude j’en ai fait mon amie

C’est au cœur de la nuit que je n’ai plus d’ennemie

Découvrant le silence, j’ai trouvé mon répit

En toi suprême patience, j’ai pu sauver ma vie.

Lanana

Moi, la volupté

Je suis le doré de la crème, le souffle sur les braises.

la main sur l’épaule, le brillant des paillettes.

Le parfum de l’aimé, le sourire de l’enfant,

La douceur d’un sein, le satin de la rose.

La couleur de la mer, la caresse du soleil.

La tiédeur du matin et la magie de l’aube,

La lumière de la vie : je suis celle qui aime.

Lanana

Rénato ! t'es qu'un peurreux !!!!! tu ne seras jamais heureux ainsi, changes ta vie avant qu'elle n'aie raison de toi...

Eh oui chers Blogers, j'ai fait preuve d'absentéisme, raison impérieuse de vie, je pense à vous, à très bientôt...

Frère d’Ame ou l’incarnation

Mon frère d’âme naît à l’Adolescence, sans même le savoir, dans le silence.

Et passent les années, l’Amour, la descendance, ce n’est que bien plus tard,

Au sein de la souffrance qu’il s’incarne sans bruit.

Sans toujours le savoir, sans en prendre conscience.

Soudain, comme le choc d’un verre sur le zinc, son cœur explose,

son âme se brise, tout lui revient de mille feux

Sans même le savoir, sans en prendre conscience.

L’éveil prend racine tout doucement, à pas de loup, mais déjà l’Amour revient,

Avec ses exigences, implorant sa présence

Les corps pressés hurlent, la dépendance s’impose, à nouveau tout s’effondre

Et sa vie lui échappe pourtant où tout s’oppose.

Sans même le savoir, sans en prendre conscience.

Son chemin paraît long, alors il continue, à présent que faire d’autre ?

Mais son cœur n’a que faire des caresses charnelles et bientôt en sourdine,

Lui rappelle l’explosion, du verre contre le zinc, du cœur en pamoison.

Sans toujours le savoir, sans même en prendre conscience.

Les jours sont éreintants, les nuits un peu plus chaudes,

Et pourtant à nouveau, l’anneau d’or l’enserre, le façonne, le hisse.

Sans même le savoir, sans en prendre conscience.

Il se livre à la vie et renonce à ses rêves au dépens de son âme

C’est une porte béante qu’il ouvre à ses démons,

Sans toujours le savoir, sans même en prendre conscience.

Or dans cette confusion, fort de contradictions, son cœur renaît enfin

Et sans même le savoir, sans en prendre conscience, son âme se lie enfin

Et son cœur s’abandonne, il a brisé ses chaînes, enfin il est lui-même.

Lanana

Je voudrais vous parler d'une chose qui a changé ma vie et bien sûr, je l'exprime en poésie...c'est l'Eveil.

L’éveil

Au matin de l’éveil, plus de place à la chance, le ciel est vraiment bleu

L’effort et la conscience balaient la nonchalance.

Au matin de l’éveil, les coups ne blessent plus, l’épreuve est salvatrice,

La clarté le chemin

Au matin de l’éveil, la paix n’est plus un songe et les jours sont des portes ouvertes au tout possible

Au matin de l’éveil, la lumière bienfaisante danse avec les ombres

Et la force du Tout fait  naître l’impossible

Au matin de l’éveil, toutes les plantations nourries de compassion éclosent une à une

C’est le cœur apaisé, les mains reconnaissantes, et l’esprit incarné

que l’âme sublimée s’inscrit dans la légende.

Lanana en plein éveil

Je vous souhaite une excellente journée à tous...

Gex, c'est un blog sur l'écriture et non sur l'info...biz.

Hello chers Bloggers,

Pour commencer cette belle journée, un peu de poésie :

Les maux

Ecoute bien ces mots et entends leurs souffrances

Regarde bien ta peau et vois qu’il ya urgence

Ecoute tous tes maux supplier délivrance.

Sens au profond tes chairs implorer ta clémence

Ecoute tes viscères se tordre de démence

Regarde comme tes mains se ferment de méfiance.

Sens comme tes mâchoires se crispent d’impatience

Ecoute tes genoux craquer d’intolérance.

Regarde comme tes yeux se voilent d’indifférence.

Sens ton ventre se vider à la moindre influence

Regarde ton estomac rejeter la violence

Entends ta tête cogner de ton manque de confiance.

Vois ton âme tourmentée après tellement d’errances

Sens ton haleine viciée à trop de décadence

Entends ton cœur meurtri à si peu d’indulgence.

Sens ton pouls s’affoler à négliger tes chances

Vois, tu n’peux plus cacher toutes tes incohérences

Regarde-toi vraiment, ta vie n’a plus de sens.

Lanana

Prenez bien soin de vous et rendez-vous au tas de sable !

Excellente journée à tous, Lanana.

A mon très cher Ami d'Ame avec lequel je suis liée...

Je pense à toi, il n'y a pas 4 messages, mais tu auras un peu de lecture quand-même, je t'embrasse très fort. Oh ! la condition humaine...sic.

Hello chers Bloggers,

Bon, j'ai annoncé que j'allais écrire alors un peu de poésie si vous le voulez bien, si vous ne voulez pas, c'est pareil...hihihi. Hum, hum :

Le passé      

J’étais la froideur de l’hiver, l’impudeur d’une jarretelle

La brûlure de l’alcool, la rigueur militaire.                                                          

J’étais la crinière du lion, la morsure du serpent.                                                           

Le tranchant de la lame, l’âme perdue de la pute.                               

J’étais la peur des déportés, rébellion des esclaves.

Corps meurtri du boxeur, adepte de la mort.                                                               

                                           Lanana

Oui, d'accord, c'est pas très gai ! Mais bon la vie les cocos, c'est pas toujours marrant, c'est pas à vous que je vais faire un dessin non ? Quoi que je pourrais... (Ouais, tout ça pour dire qu'elle sait déssiner celle-là !). Ben oui, tant qu'a écrire, j'vous fait aussi ma conscience, comme dans Pinocchio, vous savez, Géminy le Criquet...

Certes j'aurais pu prendre une autre référence que Géminy Criquet, mais :

- et d'une, c'est du visuel, on comprend tout de suite, enfin je pense,

et deusio, "sachons garder nos coeurs d'enfants", sisi, moi j'y tiens, sinon on rigole plus bcp, rapport au poème du début quoi, bon ça y est, vous avez pigé ma stratégie pour dédramatiser mon message du jour ? j'peux continuer ?

Bon, j'envie ceux dont la vie a été et est, un long fleuve tranquille, me concernant, c'est pas, mais pas, mais pas du tout le cas ! Je tiens à faire un peu chronologique s'agissant de mes écrits, sinon on s'y perd un peu, comme dans le film "La môme", j'ai bcp aimé, mais s'il faut trouver une critique : peut-être un peu trop de "flash back" non ?

Bon, de toute façon, vu le procédé des blogs, vous n'hésiterez pas à me faire part de vos commentaires, et je l'espère d'ailleurs, sinon j'écris pour moi toute seule, et comme ya déjà bcp de choses que je fais seule, ben je cherche à faire autrement, j'aime pas trop les habitudes, si vous voyez un peu Lanana.

A très bientôt, Biz à tous.

A tous : "... celui qui n'essaye pas ne se trompe qu'une seule fois".

Vous aurez bien sûr deviné que ce n'est pas de moi et Véronique Sanson l'exprime mieux que moi dans son opus "7ème" (pas récent, certes mais incontournable pour les ex bordeuse-line comme moi)...  Véro, si tu nous regardes !... et biensûr et à toutes les femmes "Barbara Gould" ! Rires !!!!!!

Excellente semaine à toutes et ... (à tous ?) mais oui bien sûr ! je plaisante, ahlalalala ! Les hommes et l'humour....

Hihihi

Plante déracinée

Fruit de la sombre grotte d’une mer exotique arpentant la terre rouge

Fragile graine métisse     d’audace n’a pas manqué.

Entre le blanc    le noir     elle n’a pas pu choisir

Même si au fond le blanc était bien plus tentant

Et tant porté aux nues par ses défunts aïeux.

Sur la palette du temps    sentant son âme d’artiste,

D’un savant coup de pinceau       elle a tout mélangé.

Inspirée du chaos enfantant l’univers

ou perdue dans son œuvre     au gré des confusions,

au cœur d’une terre riche        foncée comme les chênes

Et parmi l’herbe grasse           elle a pointé son nez.

Divine protection    ou   vœux providentiel,

Savait-elle au profond   que    les plus belles plantes      poussent        dans l’adversité.

                                                                                                                           Ba.

P.S : Alors Christelle, pas de comentaires ? (rires...)